Au delà de ses grandes dimensions, qui lui donneraient l’aspect mystique du monolithe de « 2001 l’odyssée de l’espace », cette lampe s’orne d’un revêtement d’acier noir patiné aux airs de meubles anciens. Elle est revêtue sur sa face intérieure d’une peinture dorée, comme une création de haute couture dont la qualité se perçoit des initiés à la préciosité de sa doublure, à la couleur de sa semelle.
Sous cette éloge se cache une fonctionnalité plus brutale, camoufler un ensemble de compteurs et, tableaux électriques. La peinture colorée dore les lumières froides des lampes à économies d’énergies qui l’équipent, dans l’attente de variante aux couleurs multiples.
Ses 250cm de hauteur trônent jusqu’au plafond sur deux petits pieds ajustables positionnés sur sa face avant, ce qui permet notamment la ventilation basse des lampes, là où l’extraction s’effectue naturellement par les interstices des découpes.
L’un des enjeu aura été d’évoluer d’après relevé entre les différents obstacles positionnés sur le mur à meubler pour minimiser son épaisseur.
Merci Mr P. pour le déplacement!